A fue lent, a fuego lento

 

By Benjamín García

A feu lent (A fuego lento) est an roman du cubain Emilio Bobadilla, a critiques acerbes, sur la réalité américaine (le terme Amérique Latine n'était pas devenu populaire) avec l’exemple de una región qui s’apelle Gana, une village typique, où ses habitants reçoivent des noms pompeux tels que don Olimpo o Epanimondas.

Maires ignrants et lubriques, corrumpu et arrogant, lynchers, mobs, haineux et battants. Toute ressemblance avec la la réalité n'est pas une simple coïncidence.

Mais si rien d'autre n'est apparu, le roman manquerait de portée. Dans les chiffres d'Alicia et Eustaquio Baranda c'est là que l'intention critique prend sa force.

Au début, Alicia, une jeune femme indigène semble distante de la pourrir  régnante au Ganga.

Le Dr Eustaquio Baranda impressionne par sa culture et son raffinement. Ils tombent amoureux et ensemble ils fuient le putride Ganga. Mais le miasme qui persiste à cet endroit les accompagne.

Eustaquio Baranda, malgré une telle culture et raffinement, est un lâche, incapable de résolutions vigoureuses. Il se contente d'aspirer à la contemplation. Eustaquio Baranda, malgré une telle culture et raffinement, est un lâche, incapable de résolutions vigoureuses. Il se contente d'aspirer à la contemplation.

Toute la partie européenne se déroule à Paris, cette ville mythique qui, à l'époque, était présentée comme le paradis de la culture et de la modernité.

Mais nous ne voyons pratiquement pas les Français, il n’y a pas inclusion, mais exclusion de tous, conspiration, commérage.

On dit que Bobadilla est l’un des prédécesseurs de tout le mouvement littéraire Latinomericano postérieur, certes, mais ce qui y est idéalisé, dans A fuego lento est une description de la boue et de la misère. Ce n’est pas que nous soyons le pire coin du monde, ni le meilleur et changer implique de reconnaître nos scénarios tels qu’ils sont réellement.

Aujourd’hui, plus d’un siècle plus tard, nous sommes encore enlisés dans des dilemmes semblables. Il n’y a nulle part où s’accrocher, presque tout est vocinglero, anathème, victimisme, orgueil et idolâtrie des figurines de pacotille. Tandis que le docteur Eustache Baranda reste sur la plage pour regarder les astres et souffrir du passage de sa propre arrogance broyage et inactivité.

À feu doux teste notre capacité critique, Gana, ce peuple lubrique, lyncheur, à double morale, ce n’est pas seulement l’Amérique, c’est le fantôme qui traverse maintenant le monde entier.

La figure de l’intellectuel reste dans un simple spectateur qui se contente de ses spéculations.

Un peu ce que le XXe siècle nous a laissé une sorte d’immobilité frénétique, inane, où le plus grand mouvement est donné sur Instagram, dans Tik Tok.

À la fin du roman, Baranda reste dans la contemplation. Sa femme, Alice, vit dans la désillusion, elle a cru qu’un homme cultivé l’aiderait à briser la perversion de Ganga et elle a trouvé, pour ainsi dire, une boue propre.

Comme nous, avec notre 21ème siècle vétuste, plein de turbamultas, la haine avec un sourire divers et une contemplation masturbatoire. Dans A feu doux il y a une description pointilleuse, c’est pourquoi il devient critique, malheureusement, son coup de pied n’atteint pas encore notre fonte.

 

 

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